💣 Deco fait exploser la bombe : Julián Álvarez dit OUI au Barça – ou simple coup de com’ pour masquer la crise qui ronge encore le club catalan ?
Le mercato n’a pas encore commencé, mais à Barcelone, le théâtre est déjà en pleine représentation. Selon les confidences explosives de Deco, le directeur sportif du Barça, Julián Álvarez aurait “dit oui” à une arrivée au Camp Nou. Une phrase simple, mais qui a fait trembler la presse espagnole : le champion du monde argentin, star de Manchester City, prêt à troquer le bleu ciel de Guardiola pour le blaugrana d’un club toujours en reconstruction ?

À première vue, le coup serait monumental. Álvarez, 25 ans, est l’un des attaquants les plus complets d’Europe : travailleur, mobile, redoutable dans les espaces et doté d’une mentalité exemplaire. Son profil semble taillé sur mesure pour le Barça que Xavi ou Flick rêvent de reformer — une équipe plus directe, plus moderne, plus agressive. Mais derrière les mots de Deco, un parfum de doute flotte déjà. Car Barcelone, englué dans ses dettes et ses illusions, peut-il réellement s’offrir un joueur évalué à plus de 80 millions d’euros ?

Les supporters, partagés entre excitation et ironie, ont déjà tranché sur les réseaux : certains y voient un signe d’espoir, d’autres un nouvel épisode de la série “promesses d’été” que le club nous sert chaque année. On se souvient encore de Bernardo Silva, de Kimmich, ou de Haaland — autant de rêves qui se sont transformés en mirages face à la réalité économique du Barça. Et si Julián Álvarez n’était qu’un nom de plus sur la liste des illusions catalanes ?

Du côté de Manchester, le silence est total. Guardiola, fidèle à sa stratégie du mystère, ne commente pas. Mais dans les couloirs de l’Etihad, on murmure qu’Álvarez, frustré par son manque de temps de jeu derrière Haaland, songerait réellement à un départ. Ce détail rend soudainement crédible le scénario que Deco tente de vendre au public : un joueur désireux de briller ailleurs, un Barça à la recherche d’un nouveau visage offensif, et une direction sportive qui cherche désespérément à redorer son image.
Mais au fond, la véritable question reste la même : cette “bombe” d’Alvarez est-elle une avancée concrète ou juste une manœuvre médiatique pour détourner l’attention d’un club en pleine confusion ? Les prochaines semaines le diront. Pour l’instant, une seule chose est sûre : le Barça, toujours maître dans l’art du storytelling, vient encore de transformer un simple “oui” en un drame digne d’un feuilleton estival.