🔥 La tension née du dernier El Clásico entre le Real Madrid et le FC Barcelone semble désormais avoir franchi les limites du terrain. Ce qui n’était qu’un simple affrontement sportif est devenu une véritable affaire d’État au sein du football espagnol. Tout a commencé par une phrase, lâchée sans filtre par Lamine Yamal avant le choc : « Le Real vole toujours ». Une provocation qui a fait le tour des réseaux et qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd — surtout pas celle de Dani Carvajal, capitaine du Real et vétéran respecté de la Roja.

Quelques jours plus tard, le Real s’impose 2-1 au Bernabéu. À la fin du match, les caméras captent une scène tendue : Carvajal, visiblement irrité, s’approche de Yamal dans le tunnel et lui adresse un geste sec, doigts serrés, signifiant clairement « tais-toi ». Le jeune prodige catalan réplique sans baisser la tête ; la dispute est brève, mais les regards suffisent à en dire long. Quelques heures plus tard, les deux hommes cessent de se suivre sur Instagram. Yamal noircit sa photo de profil, Pedri le soutient en “unfollowing” Carvajal. De son côté, Carvajal rend la pareille — mais continue tout de même à suivre d’autres Barcelonais comme Balde, Olmo, Ferran Torres ou Gavi.

💣 Ce qui aurait pu s’arrêter là s’est au contraire amplifié. Selon plusieurs médias proches du vestiaire espagnol, Yamal aurait exprimé son mécontentement directement auprès du staff de la sélection. Il aurait demandé — ou du moins laissé entendre — qu’il refuserait de venir s’entraîner si Carvajal figurait dans la liste. Une rumeur vite démentie officiellement, mais que personne ne dément vraiment hors micro.
Pendant ce temps, Carvajal aurait tenté d’apaiser les choses. Ce jeudi soir, il aurait recommencé à suivre Yamal sur Instagram et envoyé un court message privé, perçu comme un signe d’ouverture : « On tourne la page ». Geste de réconciliation ? Peut-être. Mais du côté du vestiaire madrilène, tout le monde ne l’a pas vu d’un bon œil.
😤 C’est Arda Güler, le jeune espoir turc du Real, qui a allumé la mèche suivante. Quinze minutes après le “follow” de Carvajal, il publie sur X (ancien Twitter) un message lapidaire : « Si c’était moi, je préférerais rester sur le banc toute l’année plutôt que de jouer avec certains. » Pas besoin de citer de nom — l’Espagne entière comprend la cible. En quelques minutes, son post explose : des milliers de partages, des commentaires furieux venus aussi bien des fans du Barça que du Real.
Sous la pression, Güler supprime la publication… mais le mal est fait. Les captures d’écran circulent, certains médias turcs reprennent même la phrase hors contexte. Dans la nuit, des hashtags #TeamGuler et #TeamYamal apparaissent sur les tendances espagnoles. La fracture symbolique entre les deux plus grands clubs du pays semble s’étendre jusque dans les rangs de la Roja.
⚠️ Face à la tempête, le sélectionneur Xabi Alonso a dû réagir immédiatement. Selon El Confidencial, il aurait organisé un appel à trois avec Carvajal, Güler et Yamal pour calmer les esprits. Les échanges auraient été “courts mais fermes”. Alonso aurait exigé que tout signe d’animosité cesse avant le prochain rassemblement. “Je ne tolérerai pas que la Roja devienne un champ de bataille entre Madrid et Barcelone”, aurait-il déclaré.
D’après une source proche du vestiaire, Carvajal aurait promis de ne plus alimenter la polémique, tandis que Yamal aurait répondu d’un ton neutre : « Ce n’est pas moi qui ai commencé. » Quant à Güler, il se serait excusé partiellement, expliquant qu’il voulait “défendre un coéquipier”, mais qu’il n’imaginait pas que ses mots prendraient une telle ampleur.

😳 Le lendemain matin, les trois hommes se sont retrouvés à Valdebebas, sous l’œil attentif des caméras. Aucun échange de regards, aucune accolade. L’atmosphère est glaciale, malgré les sourires de façade. Des témoins rapportent qu’Alonso a écourté la séance et annulé les interviews prévues pour éviter d’autres dérapages.
Pendant ce temps, la presse catalane dénonce une “campagne de victimisation madrilène”, tandis que les journaux de Madrid parlent d’“immaturité” de la part de Yamal. Le pays entier s’interroge : cette fracture entre générations et entre clubs peut-elle encore se refermer ?
👀 Un détail intrigue cependant : juste avant de supprimer son message, Arda Güler aurait aimé une publication d’un compte turc titrée “Certains ne méritent pas le maillot de la Roja.” Un signe de défi ou une maladresse ? Difficile à dire. Mais une chose est sûre : à quelques jours du prochain rassemblement, Xabi Alonso marche sur un fil.
👉 Les mots exacts échangés lors de cet appel privé — et la réaction silencieuse de Yamal dans la nuit — font encore trembler tout le football espagnol.