Un vent de révolution souffle sur le Santiago Bernabéu. Selon plusieurs sources madrilènes concordantes, Xabi Alonso a validé une refonte totale de la défense du Real Madrid, et trois noms majeurs figurent déjà sur la liste des partants : Antonio Rüdiger, David Alaba et Raúl Asencio. Le message est clair : un nouveau cycle commence, et personne n’est intouchable.

Arrivé avec une vision claire et ambitieuse, Alonso veut bâtir une défense moderne, capable d’allier puissance physique, anticipation et vitesse dans la relance. Pour cela, l’Espagnol estime qu’il faut tourner la page de certains vétérans qui ont marqué l’ère Ancelotti, mais dont le rendement décline. Rüdiger et Alaba, véritables piliers du vestiaire, arriveront en fin de contrat à l’été 2026, et le club ne compte pas prolonger. Asencio, quant à lui, n’a jamais réussi à convaincre dans le système tactique d’Alonso et devrait être libéré dès la fin de la saison.

👉 En parallèle, Florentino Pérez prépare une offensive sur le marché des transferts. Deux défenseurs français sont ciblés : Dayot Upamecano (Bayern Munich) et Ibrahima Konaté (Liverpool). Tous deux arrivent à un tournant de leur carrière et verraient d’un bon œil un départ vers la capitale espagnole. Le Real souhaiterait conclure un accord préliminaire dès janvier, afin d’éviter la concurrence de clubs comme PSG ou Juventus.
Cependant, la décision d’Alonso ne fait pas l’unanimité. Une partie du vestiaire serait “sous le choc” après l’annonce de la mise à l’écart de Rüdiger, très respecté pour son leadership et son influence. Les supporters, eux, se divisent : certains applaudissent la modernisation de l’effectif, d’autres redoutent une perte d’expérience fatale dans les grands rendez-vous européens.
Mais une chose est sûre : le Real Madrid version Xabi Alonso s’annonce intrépide, audacieux et impitoyable. La “Casa Blanca” entre dans une nouvelle ère, prête à sacrifier ses anciens héros pour poser les fondations d’un futur doré.
L’été 2026 pourrait bien marquer la plus grande révolution défensive du Real depuis plus d’une décennie. Bernabéu retient son souffle.