🔥 ZIDANE AU CŒUR D’UN DOUBLE SÉISME : PARIS LUI FERME LA PORTE, MADRID LUI ROUVRE UNE ISSUE… AU MOMENT OÙ XABI ALONSO VACILLE

L’onde de choc a traversé l’Europe du football au petit matin : Philippe Diallo, président de la Fédération Française de Football, vient de refroidir brutalement l’hypothèse — pourtant considérée comme quasi certaine — d’un Zidane sélectionneur des Bleus après 2026. Une déclaration sèche, inattendue, qui non seulement rebattrait les cartes du futur des Bleus, mais surtout relance un autre dossier brûlant : le chaos interne au Real Madrid et l’idée, de moins en moins taboue, d’un retour de Zizou sur le banc de la Maison Blanche.
Car à Madrid, le timing n’a rien d’anodin. Depuis deux semaines, Xabi Alonso traverse la période la plus sombre depuis qu’il a repris l’équipe : deux défaites, un nul, un vestiaire fissuré, et surtout une rupture latente avec plusieurs cadres — Vinicius, Bellingham, Rodrygo — dont la lassitude commence à filtrer vers l’extérieur.
Une phrase de Diallo qui change tout
Interrogé par L’Équipe, Philippe Diallo a tranché d’un ton glacial :
« Beaucoup de choses peuvent arriver, mais pas forcément celles que l’on imagine. Je respecte profondément Zidane, mais ce n’est pas notre option pour l’instant. Nous sommes concentrés sur la Coupe du monde. »
Pour un public français qui imaginait Zizou comme successeur naturel de Deschamps, le choc est immense. Le président va même plus loin, laissant entendre que le nom du prochain sélectionneur pourrait être dévoilé avant le Mondial 2026, dès mars ou avril. Une manœuvre jugée “étrange” par plusieurs sources proches de la FFF, qui y voient soit un désir de clore le dossier au plus tôt… soit un message caché destiné à Zidane lui-même : “ne nous attendez pas.”Le silence de Zidane, plus parlant que des mots
Les proches de Zizou décrivent un homme “surpris mais pas abattu”. À Madrid, une phrase a circulé, captée par un journaliste présent lors d’un événement privé :
« Je ne ferme aucune porte. »
Une réponse courte, suspendue, interprétée comme un signal vers… le Real Madrid.
Car à Valdebebas, la situation se tend dangereusement.
Xabi Alonso, l’autorité qui s’effrite
Les trois résultats récents n’ont pas créé la crise, ils l’ont révélée. Selon plusieurs sources espagnoles consultées par Relevo, des réunions internes ont tourné au froid glacial, notamment entre Alonso et Vinicius, puis Alonso et Bellingham quelques jours plus tard.
Un cadre du Real confie même :
« Le message ne passe plus. On sent un décalage entre ses idées et la réalité du vestiaire. »
Au-delà du terrain, des tensions sur la gestion des statuts des joueurs — un sujet ultra-sensible dans un club comme le Real — ont fissuré l’union au sein du groupe. Certains jeunes estiment ne pas être soutenus, certains cadres disent être “mal utilisés”, et un assistant aurait même glissé :
« On est en train de perdre tout le monde, un par un. »

Madrid se tourne vers son icône : Zidane redevient “option 1”
C’est dans cette ambiance électrique que les mots de Diallo ont éclaté comme une détonation. Dans les couloirs du club, la réaction a été immédiate :
le retour de Zidane n’est plus un tabou — c’est un scénario de travail.
Une source proche de la direction madrilène l’affirme clairement :
« Nous avons contacté son entourage il y a 48 heures. Pure vérification de disponibilité… mais pas seulement. »
Le signal est clair : si Xabi Alonso ne redresse pas la barre rapidement, la Maison Blanche n’hésitera pas à tourner la page.
Un destin croisé : la France se ferme, Madrid s’ouvre
Le paradoxe est saisissant :
– Paris ferme la porte à Zidane,
– Madrid lui ouvre une issue royale,
– et Xabi Alonso se retrouve au milieu de la tempête, menacé par son propre vestiaire et par un calendrier impitoyable.
Dans les rédactions françaises et espagnoles, l’idée d’un “effet domino” circule :
le refus de la Fédération Française de Football pourrait précipiter le retour de Zizou au Real… et accélérer la chute de Xabi Alonso.
Un consultant de El Chiringuito résume parfaitement l’ambiance :
« Quand Zidane devient disponible, Madrid n’attend jamais longtemps. »

Une crise qui pourrait changer deux sélections et un club
À l’heure où les Bleus cherchent la stabilité avant 2026, où le Real tente d’éviter une implosion interne et où Zidane rejoue involontairement le rôle d’arbitre du destin, une chose est sûre :
l’Europe du football retient son souffle.
Le prochain match du Real pourrait bien décider de trois avenirs en même temps :
– celui d’Alonso,
– celui de Zidane,
– et celui d’une équipe de France en pleine zone d’ombre.