🔥 BARCELONE FACE À L’UEFA : UN CHOC FINANCIER ET POLITIQUE ! L’été dernier, le FC Barcelone a été de nouveau épinglé pour violation du règlement de fair-play financier de l’UEFA, pour la deuxième saison consécutive. Après une première sanction de 500 000 euros en 2024, cette fois-ci, les conséquences financières étaient bien plus sévères. Le club a finalement accepté de payer 15 millions d’euros, mais Joan Laporta a révélé que cette somme pourrait avoir des répercussions sportives majeures.

👉 Selon Laporta, lors de l’Assemblée générale du club, l’UEFA voulait punir Barcelone en l’excluant de la prochaine Ligue des Champions. “Le problème, c’est que Barcelone n’est pas un État membre et ne peut pas augmenter son capital comme certains clubs européens”, a expliqué Laporta. “Nous avons utilisé cet argument pour négocier une réduction de la sanction initiale, passant de 60 millions d’euros à 15 millions. Mais ils souhaitaient également nous interdire la compétition européenne.”

⚠️ La tension dans la salle était palpable. Plusieurs dirigeants ont décrit une discussion houleuse avec l’UEFA, où Laporta, visiblement excédé, a dénoncé un traitement “injuste et quasi extorsif” : “Il ne s’agit plus de fair-play financier, mais d’une opération de pression pure et simple. Nous avons dû céder pour protéger le club et ses joueurs.”

💣 Les sources internes au club indiquent que la négociation a duré plusieurs heures, avec des représentants de l’UEFA insistant sur la sanction maximale. Selon ces témoignages, Laporta aurait frappé la table à plusieurs reprises pour manifester sa colère et rappeler que Barcelone ne se laisserait pas dicter sa politique interne. Ce moment de tension a été perçu comme l’un des plus dramatiques dans l’histoire récente du club.
🔸 Outre l’aspect financier, Laporta a laissé entendre que l’UEFA aurait tenté d’utiliser cette situation pour influencer les décisions sportives du club, notamment concernant la participation aux compétitions européennes. “Ils voulaient que nous cédions sur certains recrutements et décisions de rotation des joueurs pour ‘apaiser’ la situation”, a-t-il précisé. Ces révélations ont provoqué un véritable séisme médiatique en Espagne, la presse catalane et nationale parlant de scandale politique déguisé en sanction sportive.
👉 Dans les coulisses, certains membres du conseil d’administration ont exprimé leur inquiétude que cette affaire ne crée une instabilité interne pouvant affecter la préparation de la saison. Laporta a toutefois insisté sur le fait que la cohésion sportive et l’ambition du club restaient intactes, malgré la pression extérieure.
⚠️ Fait intrigant : selon des sources anonymes proches des négociations, l’UEFA aurait initialement réclamé plus de 60 millions d’euros, soit quatre fois le montant final. “Nous avons réussi à négocier, mais le ton et l’attitude de l’UEFA étaient tels que certains ont parlé de véritable extorsion financière déguisée”, confie un membre de la direction.
💥 Ce cas soulève également des questions sur l’équilibre du pouvoir entre les clubs historiques et l’instance européenne. Plusieurs experts financiers européens notent que l’UEFA pourrait continuer à utiliser des menaces de sanction pour imposer des normes, mais que la réaction ferme de Laporta pourrait servir de précédent pour d’autres clubs confrontés à des sanctions similaires.
👉 Enfin, si la situation financière semble sous contrôle avec le paiement des 15 millions d’euros, l’incertitude plane sur le plan sportif : les prochaines décisions de recrutement, la participation à la Ligue des Champions, et la confiance des investisseurs pourraient encore être affectées. Les prochains mois seront cruciaux pour Barcelone afin de transformer cette crise en un moteur de renouveau plutôt qu’en un facteur de déstabilisation.