Wenger crée la polémique : une nouvelle proposition de loi sur le hors-jeu pourrait révolutionner le monde du football !

Suisse – Arsène Wenger, ancien entraîneur légendaire d’Arsenal et actuel directeur général de la FIFA, vient de soumettre officiellement un projet de loi sur le hors-jeu entièrement nouveau, qui promet de révolutionner la pratique et la compréhension du football depuis plus d’un siècle.
Selon la proposition de Wenger, un joueur ne sera hors-jeu que si la partie de son corps capable de marquer se trouve sous le dernier défenseur. Autrement dit, l’arbitre ne décidera que si le joueur se trouve complètement au-dessus du défenseur adverse. Il s’agit d’un changement majeur par rapport à la loi actuelle, qui exige que seule une partie du corps se trouve au-dessus du défenseur pour être interceptée.
⚖️ « Loi Wenger » – le plus grand choc depuis la VAR
Le projet sera examiné lors de la prochaine réunion annuelle de l’International Football Association Board (IFAB), seule instance habilitée à modifier les lois du football. Wenger présidera la réunion, à laquelle participeront 23 anciens joueurs et arbitres de haut niveau.
Si elle est approuvée, la nouvelle loi sera soumise au Conseil de l’IFAB en février 2026. Pour un vote. Selon le journal espagnol AS, jusqu’à 95 % des propositions soumises au Conseil ont été approuvées, ce qui laisse penser que la possibilité de voir la « Loi Wenger » se concrétiser est très élevée.
L’image de Wenger et du président de la FIFA, Gianni Infantino, regardant le quart de finale de l’Euro féminin entre l’Angleterre et la Suède en juillet 2025 est perçue comme un « signal politique » témoignant du soutien fort de la FIFA à cette idée.
⚽ Plus de buts, moins de controverses – mais cela va-t-il ruiner la tactique ?
Selon l’analyse de la FIFA, si la nouvelle loi est appliquée, le nombre de buts par match pourrait augmenter considérablement, tandis que les controverses sur le hors-jeu diminueraient fortement, la limite permettant de déterminer l’erreur étant plus claire.
Cependant, de nombreux experts et entraîneurs craignent que la nouvelle loi ne bouleverse la façon de défendre. Les équipes pourraient être contraintes de reculer pour éviter d’être prises au dépourvu, ce qui ralentirait le jeu et rendrait le football défensif et sans suspense.
AS a même commenté :
« Le football tremble devant la Possibilité d’adopter la règle Wenger. Un seul changement de loi pourrait bouleverser les tactiques que nous connaissons depuis des décennies. 🏛️ IFAB – l’instance qui décide du sort des règles du jeu
Créé en 1886, l’IFAB est le seul organisme habilité à décider de toute modification des règles du football. La FIFA détient 50 % des droits de vote, les 50 % restants appartenant aux quatre fédérations de football du Royaume-Uni (Angleterre, Écosse, Irlande du Nord, Pays de Galles).
Pour que le projet soit adopté, au moins les trois quarts des voix sont nécessaires ; le soutien de la FIFA est donc une condition nécessaire, mais non suffisante. Cependant, compte tenu de l’influence et du prestige de Wenger dans le monde du football, les experts estiment que les chances d’adoption sont très élevées.

🧠 Wenger – le cerveau qui ne cesse de créer
Arsène Wenger, 76 ans, est l’un des entraîneurs les plus respectés de l’histoire du football. Il a dirigé Arsenal pendant 22 ans, remportant 17 titres, dont la saison 2003-2004 sans défaite en Premier League – un exploit jamais réalisé. Répété.
Après avoir quitté Arsenal, il occupe le poste de Directeur du Développement du Football Mondial à la FIFA, chargé de rechercher et de proposer des modifications aux lois, aux tactiques et aux technologies du football moderne.
Si la nouvelle loi est approuvée par l’IFAB, la FIFA procédera à un essai dans plusieurs tournois de moindre envergure avant d’envisager son application au plus haut niveau, peut-être même lors de la Coupe du Monde 2026.
Malgré la controverse, il est indéniable que :
« Chaque fois que Wenger prend la parole, le football mondial s’apprête à entrer dans un nouveau chapitre. »