Le Clasico de dimanche dernier, déjà marqué par une tension inédite, a laissé des traces bien au-delà du terrain.
Et cetMounir Nasraoui, le pèLamine Ya.
Son mess« Heureusement, il n’a que 18 ans… Rendez-vous à B

Quelques heures plus tôt, une altercation avait éclaté dans les couloirs du Santiag,
SelDani aurait« Continue à parler, gamin », faisant allusion à ses déclarations polémiques avant le match sur les “victoires volées” du Real et la “corruption” du football espagnol.
La phrase aurait suffi à mettre le feu aux poudres.
Thibaut Courtois serait intervenu à son tour, tandis que Vinícius Jr., visiblement hors de lui, aurait franchi la ligne rouge avec une provocation plus personnelle.
Il aurait fallu plusieurs membres du staff pour séparer les joueurs avant qu’une véritable bagarre n’éclate.

💬 « On ne s’adresse pas comme ça à un enfant, même s’il joue au Barça », a commenté un proche du clan Yamal, sous couvert d’anonymat.
Mais le plus surprenant, c’est la rapidité avec laquelle le père du jeune attaquant est sorti du silence.
Moins de trois heures après l’incident, sa story Instagram était déjà virale.
Des milliers de fans catalans y ont vu un avertissement direct aux stars du Real, tandis que la presse madrilène y a perçu une menace à peine voilée en vue du match retour au Camp Nou, prévu pour mars prochain.

Les réactions ne se sont pas fait attendre.
Dans la nuit, plusieurs comptes de supporters du Real ont répondu avec des montages moqueurs, détournant la phrase de Nasraoui en « Rendez-vous… en finale de Copa del Rey », tandis que des fans du Barça ont inondé les réseaux de hashtags #ProtectYamal et #MadridVoleDesMatchs.
L’affaire a rapidement pris une tournure politique : certains commentateurs ont dénoncé la “victimisation médiatique” de Barcelone, d’autres ont parlé d’un “signal de ralliement” lancé par la famille Yamal avant la revanche.
🕒 Lundi matin, l’ambiance restait électrique à Madrid.
Les caméras postées à Valdebebas ont capté un Vinícius visiblement nerveux, esquivant les questions des journalistes.
Carvajal, lui, aurait simplement lâché un “je ne parle pas des enfants”, avant de monter dans sa voiture.
À Barcelone, Xavi Hernández a tenté d’éteindre l’incendie en conférence de presse : « Ce sont des choses qui arrivent après un match chaud. Lamine apprend, et il est bien entouré. »
Mais selon plusieurs médias catalans, le club n’a pas apprécié que la famille du joueur réagisse publiquement — signe que la tension dépasse déjà le simple cadre sportif.
🎙️ Sur les plateaux de télévision espagnols, le sujet a dominé l’actualité.
Sur El Chiringuito, Josep Pedrerol a parlé d’un “manque de respect total” et d’une “provocation calculée par le clan Yamal pour maintenir la pression sur Madrid”.
En revanche, du côté de Barcelone, les voix sont plus divisées : certains saluent la “protection paternelle légitime” de Mounir Nasraoui, d’autres jugent que ce geste risque d’“exposer inutilement” le jeune prodige.
Un détail n’a échappé à personne : la publication de Nasraoui s’est accompagnée d’une photo tirée d’une interview récente de Lamine Yamal avec le streamer Ibai Llanos, où le joueur répétait calmement : « Madrid vole des matchs depuis des années. »
Le choix de cette image, replacée dans le contexte explosif du Clasico, donne au message du père une portée symbolique et presque stratégique.
Aujourd’hui, les observateurs redoutent déjà le climat du prochain Clasico au Camp Nou.
Si la Fédération n’intervient pas pour calmer les esprits, le duel retour pourrait bien devenir le plus tendu de la dernière décennie.
Un ancien joueur du Real, interrogé par Marca, a résumé la situation : « Quand les familles entrent dans le jeu, c’est qu’on a franchi la limite. »
Et pendant ce temps, Lamine Yamal, 18 ans à peine, se retrouve au centre d’une tempête qu’il n’a peut-être pas voulu déclencher.
Mais à Barcelone, beaucoup murmurent qu’il vient, sans le vouloir, de réveiller la plus vieille rivalité du football européen.