💥 CRISE ROYALE APRÈS LE CLÁSICO : YAMAL CONTRE CARVAJAL, UN CONFLIT QUI ÉBRANLE LA ROJA !

Le Clásico du 26 octobre n’a pas seulement secoué le Santiago Bernabéu. Il a ouvert une fracture profonde au cœur même du football espagnol. Ce qui, au départ, semblait n’être qu’une querelle entre deux clubs ennemis est désormais devenu une crise d’État footballistique touchant jusqu’à la sélection nationale.
Tout a commencé avant le coup d’envoi du choc entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Dans une interview accordée à la Kings League, Lamine Yamal, 17 ans, avait lâché une phrase qui allait enflammer Madrid :

“Le Real Madrid vole tout.”
Ces mots, jugés arrogants par la presse madrilène, ont immédiatement été relevés dans le vestiaire du Real. Et le premier à réagir, sans surprise, fut Dani Carvajal, capitaine d’un soir et pilier du club merengue.
Selon plusieurs témoins, après la victoire 2-1 du Real, Carvajal se serait approché de Yamal dans le tunnel du Bernabéu et lui aurait lancé :
“Tu parles trop, gamin.”
Une vidéo amateur, filmée depuis les gradins, montre d’ailleurs Carvajal faisant un geste provocateur de la main vers Yamal — les doigts pincés, comme pour lui dire de se taire. Yamal, furieux, aurait répondu quelque chose d’incompréhensible, avant d’être retenu par Pedri et Gavi. L’incident aurait pu en rester là. Mais dès la fin du match, la guerre s’est déplacée sur les réseaux sociaux.
Dans la nuit, Yamal a cessé de suivre Carvajal sur Instagram, puis a remplacé sa photo de profil par un carré noir. Quelques heures plus tard, Carvajal a répondu en se désabonnant de Yamal et Pedri, laissant la tension monter d’un cran.
Mais le véritable tournant est survenu trois jours plus tard, à Las Rozas, lors du premier rassemblement de l’équipe nationale. Selon des informations rapportées par El Mundo Deportivo, Yamal aurait demandé en privé au sélectionneur Luis de la Fuente “de ne pas convoquer Carvajal” pour les deux prochains matchs amicaux.
“Je ne peux pas jouer avec quelqu’un qui me méprise devant tout le pays”, aurait déclaré Yamal lors d’une réunion interne.
La demande, jugée choquante par le staff, aurait été immédiatement rejetée. Cependant, la nouvelle s’est rapidement répandue au sein du groupe. Sergio Ramos, invité en tant que conseiller symbolique de la Fédération, aurait alors pris la parole devant plusieurs joueurs pour défendre Carvajal :
“Celui qui pense qu’il est plus grand que le maillot n’a rien à faire ici.”
Cette phrase, reprise en boucle par les médias, aurait provoqué un nouveau clash dans le vestiaire. Yamal, visiblement blessé, aurait quitté la salle de réunion avant la fin et refusé de s’entraîner le lendemain matin.

C’est à ce moment que l’affaire a pris une tournure politique. Pedro Sánchez, Premier ministre espagnol et grand amateur de football, aurait été informé de la situation par un proche de la Fédération. Dans l’après-midi, il aurait envoyé un message privé de quinze mots à Yamal, l’exhortant “à l’unité, au respect des aînés et à l’exemplarité”.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là : selon AS, Carvajal aurait répondu indirectement au message du Premier ministre en publiant sur X (ancien Twitter) trois mots lourds de sens :
“Assez, pour toujours.”
Ces trois mots ont mis le feu aux réseaux. Était-ce une annonce de retrait international ? Un message adressé à Yamal ? Ou une pique politique contre l’intervention du gouvernement ? Personne ne le sait. Mais en moins d’une heure, le hashtag #YamalCarvajal dépassait les dix millions de vues, et la Fédération recevait des centaines de demandes de clarification.
Sous la pression médiatique, Luis de la Fuente a dû organiser une conférence improvisée :
“Ce qui s’est passé est grave, mais nous trouverons une solution. La Roja est plus forte que les égos individuels.”
Pour l’instant, aucune sanction n’a été annoncée, mais plusieurs sources internes affirment que Carvajal envisage de se retirer temporairement de la sélection, tandis que Yamal “serait suivi par un psychologue sportif” à la demande du Barça.
À Madrid, les supporters du Real accusent la “jeunesse insolente” de Yamal. À Barcelone, on parle de “harcèlement institutionnel” contre leur joyau. Et au milieu de ce chaos, la Roja se retrouve plus divisée que jamais, à quelques mois de l’Euro 2026.
👉 Les mots exacts du Premier ministre et la réponse complète de Carvajal pourraient être rendus publics dans les prochaines heures — une publication que toute l’Espagne attend avec impatience.