Le Real Madrid pensait avoir refermé un match complexe face à Elche avec l’égalisation tardive de Jude Bellingham (2–2). Mais à peine le coup de sifflet final retentit, une autre rencontre, bien plus explosive, commençait : celle des accusations, des analyses au scalpel… et d’une réaction inattendue de Vinicius Jr.
Car la polémique née autour de son contact avec le gardien Inaki Pena n’a cessé de prendre de l’ampleur. Les images du nez ensanglanté du portier ont envahi les réseaux sociaux, nourrissant un discours où la frontière entre faute et simple collision devenait floue — parfois volontairement.

Et puis Radio MARCA a ajouté de l’huile sur le feu.
« Pour moi, c’est faute », la phrase qui a mis le feu aux poudres
Perez Burrull, ancien arbitre et désormais consultant, a lancé la déclaration qui a renversé la soirée : selon lui, Vinicius a bel et bien “touché dangereusement le visage du gardien”, une action “parfaitement sifflable”.
Cette analyse, loin d’être isolée, a été reprise par les supporters d’Elche, persuadés d’avoir été privés d’une victoire historique. Les mots « robo » et « vergüenza » se sont mis à circuler, créant un climat de tension que les Madrilènes connaissent trop bien.
Mais ce que personne n’avait anticipé, c’est la réaction de Vinicius. Et encore moins quand elle allait arriver.

La scène secrète de Valdebebas, à 1h03 du matin
Selon nos informations, confirmées par deux sources proches du vestiaire, Vinicius n’a pas pu dormir. Il a revu les actions, parcouru les réseaux, et finalement, en entrant dans la salle de musculation du centre d’entraînement, il est tombé sur l’extrait de Radio MARCA republié par un préparateur.
C’est à ce moment-là que la rupture s’est produite.
Un témoin raconte :
« Il a fixé l’écran pendant cinq secondes. Pas de mot, rien. Puis la bouteille a heurté le sol. »
Ce geste, pourtant simple, a résonné comme un signal d’alarme. Vinicius n’est pas un joueur qui réagit à chaud de manière impulsive — il évite justement ce piège médiatique. Mais cette fois, c’était différent.
Il aurait alors lâché une phrase, d’une froideur inhabituelle :
« Ils veulent me faire porter la faute… mais ils oublient qui a pris des coups toute la soirée. »
Un assistant révèle que le silence derrière cette phrase « n’était pas un silence normal », mais « quelque chose qui annonçait une réponse ».
Une version des faits que le Real commence à défendre
En interne, plusieurs analystes du club estiment que Pena sort “à l’aveugle”, les bras en avant, et que le contact résulte davantage d’un timing malheureux que d’un acte dangereux.
Un préparateur physique confirme même que Vini “a essayé d’éviter”, et que le ralentí “écrase la dynamique réelle de l’action”.
Mais ce qui intrigue le plus, ce n’est pas la défense technique.
C’est la réaction personnelle du Brésilien.

La dernière phrase qui a fait frissonner le staff
Toujours selon nos sources, Vinicius a terminé sa nuit d’une manière encore plus énigmatique :
« S’ils veulent inventer une histoire, j’aurai ma réponse. »
Une phrase qui, selon plusieurs membres du club, annonce un mouvement de communication. Certains au Real pensent qu’il pourrait publier une explication détaillée — ou un message plus subtil — sur ses réseaux, où chaque détail est décortiqué.
Le Real surveille la tempête… et prépare déjà sa posture
Du côté des dirigeants, on redoute que le débat ne déborde vers un examen supplémentaire de LaLiga ou du Comité Technique des Arbitres. L’idée que l’action puisse être réévaluée, même a posteriori, inquiète en interne.
Un cadre du club nous confie :
« Quand Vini est calme comme ça, c’est que quelque chose se prépare. Et généralement, ça change la conversation. »
Et maintenant ?
La polémique continue de monter, les images tournent en boucle, et le Real Madrid sait que chaque ligne, chaque mot, chaque analyse compte.
Une seule chose est certaine :
Vinicius n’a pas dit son dernier mot.