Selon les informations explosives de Mundo Deportivo, malgré des résultats remarquables en Liga, Xabi Alonso fait face à une véritable tempête dans le vestiaire du Real Madrid. Cinq joueurs majeurs du club — dont Vinícius Jr., Jude Bellingham et Thibaut Courtois — auraient exprimé leur mécontentement vis-à-vis du style de management du nouvel entraîneur.
Un vestiaire en ébullition, un président en alerte… et des tensions qui menacent de tout faire exploser avant Noël.

đ§© Une fracture inattendue malgré un début de règne parfait
Après 12 journées de championnat, le Real Madrid affiche un bilan presque parfait : 10 victoires, 1 nul et une seule défaite. En Ligue des champions, le club domine son groupe, ne concédant qu’un revers (0-1) à Anfield face à Liverpool.
Mais derrière les statistiques brillantes, l’ambiance se détériore dangereusement. Plusieurs cadres se plaignent d’un “manque total de connexion” avec Alonso, décrit comme un entraîneur brillant, mais froid et inflexible.

“Le vestiaire du Real est silencieux, tendu, presque divisé”, confie une source interne au média catalan. “Certains joueurs disent qu’ils ne reconnaissent plus l’esprit familial instauré par Ancelotti.”

âïž Vinícius, Bellingham et Courtois en première ligne
D’après le journaliste Mario Calderón, le conflit aurait éclaté autour du système de relance depuis la défense, qu’Alonso impose avec une rigueur quasi militaire.
Vinícius Jr., habitué à un jeu direct et instinctif sous Ancelotti, aurait fait part de son agacement. Bellingham, quant à lui, se sentirait “bridé” par les consignes trop précises du Basque.
Même Courtois, réputé discret, aurait demandé davantage de liberté dans les phases de construction.
Les milieux Valverde et Camavinga, utilisés à des postes changeants sans continuité, se seraient également sentis “déstabilisés”. L’un d’eux aurait lâché une phrase lourde de sens :
“Sous Ancelotti, on jouait avec le cœur. Aujourd’hui, on joue pour les drones et les tablettes.”
đŁ Une pétition interne… et l’ombre de Florentino Pérez
Toujours selon Mundo Deportivo, un document interne aurait circulé dans le vestiaire après le nul 0-0 contre Rayo Vallecano. Cinq signatures y figureraient, réclamant “une réévaluation du plan de jeu” et “un dialogue plus humain” avec l’entraîneur.
Le président Florentino Pérez, informé dans la soirée, aurait immédiatement convoqué Alonso à Valdebebas. D’après les indiscrétions de la chaîne El Chiringuito, la discussion a été “courte, mais glaciale”.
Un témoin présent rapporte :
“Le ton est monté très vite. Alonso a répondu qu’il ne céderait pas à la pression du vestiaire. Pérez, lui, a simplement dit : ‘Continue ton travail, mais ne perds pas le vestiaire.’”
đ„ Un tournant avant la trêve
L’épisode intervient à un moment délicat, alors que le Real Madrid s’apprête à affronter Girona et Séville, deux adversaires redoutables en championnat. Alonso, déjà critiqué pour le 0-0 face à Rayo Vallecano malgré la présence de Mbappé, Vinícius et Bellingham, sait qu’un nouveau faux pas pourrait attiser encore davantage les tensions.
Pour l’instant, le président Pérez maintient sa confiance, estimant qu’Alonso doit “refonder une identité de jeu durable” après l’ère Ancelotti. Mais dans les coulisses, certains membres du vestiaire pensent déjà qu’une fracture est irréversible.
“Le problème n’est pas les résultats,” résume un proche du club. “C’est l’atmosphère. On sent que quelque chose s’est brisé.”
đ„ Un Real Madrid en tête du classement… mais à deux doigts d’un séisme interne.
Les prochaines semaines diront si Xabi Alonso saura regagner la confiance de ses stars — ou si cette première crise marquera déjà le début d’une guerre ouverte dans le vestiaire le plus prestigieux du monde.