À quelques jours d’un Clásico déjà sous haute pression, Hansi Flick s’est présenté en conférence de presse dans un mélange de sincérité, de nervosité et d’émotion. Derrière les mots du coach allemand, un malaise profond semble se dessiner au sein du FC Barcelone.

« Je suis heureux des trois points, mais la situation est complexe », a-t-il confié, visiblement tendu.
Flick a confirmé les inquiétudes concernant Ferran Torres et Raphinha, deux éléments clés dont la présence face au Real Madrid est désormais incertaine : « Nous devons réduire les risques… ».

Mais c’est une autre phrase qui a bouleversé les fans :
« Barcelone m’a changé, aussi sur le plan émotionnel. Je n’ai pas aimé que mon petit-fils me voie comme ça samedi. »
Un aveu touchant, presque désarmant, qui montre un Flick à fleur de peau.
Au-delà des blessures, Flick a également évoqué le cas Rashford, confirmant qu’il pourrait être utilisé comme avant-centre : un signe fort sur la confiance accordée à l’Anglais, recruté récemment dans un contexte explosif.
Et alors que le nom de Roony Bardghji circule pour dynamiser l’attaque, le technicien a reconnu que « le choix du onze de départ n’a jamais été aussi difficile ».
Entre la gestion des jeunes comme Bernal, la forme incertaine de ses ailiers, et les critiques d’une partie des socios, Flick semble à un tournant : celui où tout peut basculer.
Le Barça avance sur un fil : un Clásico sans Ferran ni Raphinha, un Rashford encore en adaptation… et un Flick plus humain que jamais, mais prêt à tout pour ne pas tomber.