À Madrid, l’atmosphère devient électrique. Alors que la relation entre Vinícius Júnior et Xabi Alonso semble irrémédiablement brisée, un nouveau chapitre brûlant vient d’être ouvert : selon plusieurs sources espagnoles, le Real Madrid a officiellement réactivé son plan gigantesque pour recruter Erling Haaland. Une fuite interne, décrite comme « fiable et préoccupante » par la presse ibérique, suggère même que la machine madrilène s’est mise en marche depuis plusieurs semaines.

Depuis l’altercation retentissante lors du dernier Clásico – lorsque Vinícius, furieux d’être remplacé à la 72e minute, a lancé « Je partirai mieux ! » – la fracture entre l’attaquant brésilien et son entraîneur ne cesse de s’élargir. Malgré une tentative d’apaisement auprès du président Florentino Pérez, le joueur n’a jamais présenté d’excuses à Alonso, ce qui a été interprété comme un message de défi clair.

Et depuis, tout s’emballe. Les discussions de renouvellement de contrat, ouvertes depuis janvier, ont été suspendues. Le clan Vinícius ne veut plus entendre parler d’un nouveau contrat, et l’idée d’un transfert est désormais considérée comme « très plausible » dans les bureaux madrilènes. Une possibilité qui oblige le Real à anticiper… et très vite.

C’est dans ce contexte explosif que le nom d’Erling Haaland refait surface avec une puissance inédite. L’attaquant norvégien, longtemps considéré comme le rêve ultime de Pérez, serait désormais la priorité numéro un pour remplacer Vinícius. La relation fluide entre le Real et l’agent Rafaela Pimenta, ajoutée aux doutes récurrents de Haaland sur son futur à Manchester City, alimente les spéculations.
Selon le journal SPORT, le Real Madrid aurait déjà débloqué plusieurs scénarios financiers pour activer l’opération “Haaland 2026”, dont un montage contractuel qui pourrait battre des records. Un cadre du club, sous couvert d’anonymat, aurait même déclaré : « Si Vinícius part, Haaland sera la réponse de Florentino. »
À Valdebebas, l’agitation est totale. Les supporters se déchirent sur les réseaux sociaux, les journalistes s’entassent, et les dirigeants s’enferment dans des réunions qui s’enchaînent. Tout indique que la tempête n’est qu’à son début.
Une chose est sûre : le compte à rebours est lancé… et le Bernabéu retient son souffle.