Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
Selon plusieurs sources concordantes, « les loups s’approchent » — une expression désormais reprise par de nombreux médias madrilènes pour décrire la pression croissante autour de Xabi Alonso.
La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.
Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
Selon plusieurs sources concordantes, « les loups s’approchent » — une expression désormais reprise par de nombreux médias madrilènes pour décrire la pression croissante autour de Xabi Alonso.
La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.
Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
Selon plusieurs sources concordantes, « les loups s’approchent » — une expression désormais reprise par de nombreux médias madrilènes pour décrire la pression croissante autour de Xabi Alonso.
La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.
Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
Selon plusieurs sources concordantes, « les loups s’approchent » — une expression désormais reprise par de nombreux médias madrilènes pour décrire la pression croissante autour de Xabi Alonso.
La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.
Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
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La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.
Le Real Madrid devrait aborder son déplacement à Athènes avec calme : leader de LaLiga, bien installé dans le top huit de la Ligue des champions, et encore en contrôle de son destin. Pourtant, à Valdebebas, l’atmosphère est tout sauf sereine.
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La contre-performance à Elche (2-2), troisième match consécutif sans victoire, a été l’étincelle qui a rallumé les critiques. Outjoués, dépassés dans les duels, menés à deux reprises par une équipe promue, les Merengues n’ont été sauvés que par un but entaché d’une faute de Vinícius Júnior.
Une égalisation qui n’a calmé personne : au contraire, elle a alimenté un discours médiatique de plus en plus agressif, accusant Alonso de perdre la connexion avec son vestiaire.