À 19h43 le 27 novembre 2025, la FIFA a ébranlé le monde du football avec une déclaration officielle sans précédent : pour la première fois dans l’histoire moderne, l’instance suprême admet publiquement une « erreur d’arbitrage grave et décisive » lors d’un match de Ligue des Champions et ouvre la porte à des mesures extraordinaires après le controversé Barcelone 4-3 Chelsea hier soir à l’Estadi Olímpic Lluís Companys.

Le match, correspondant à la cinquième journée de la nouvelle Ligue des Champions, s’est terminé par une victoire culé grâce à un but de Ferran Torres à la 90+7 minute sur penalty.
Cependant, des images ultérieures ont montré qu’il n’y avait aucun contact entre Enzo Fernández et Lamine Yamal dans la surface : le jeune Espagnol a chuté après un léger frottement d’épaule et l’arbitre roumain István Kovács a signalé les onze mètres sans hésitation.
Robert Sánchez l’a deviné, mais le tir du “Requin” était imparable.

Aujourd’hui, à peine 20 heures plus tard, la Commission des Arbitres de la FIFA a publié un rapport de 14 pages signé par Pierluigi Collina en personne où il est reconnu mot pour mot :

«Après l’analyse exhaustive du VAR et des images 3D, on conclut qu’il n’y a pas eu suffisamment de contacts pour déclarer un penalty dans les 90+6 minutes. L’erreur de l’équipe arbitrale a directement influencé le résultat final du match.
“La FIFA regrette profondément les dommages causés au Chelsea FC et au football en général.”

Le communiqué va plus loin et annonce que, pour la première fois dans l’histoire de la Ligue des Champions, sera étudiée la possibilité de répéter le match ou, à défaut, d’attribuer les trois points à Chelsea par 0-3 en temps réglementaire.
La décision finale sera prise lors d’un comité d’urgence convoqué pour le lundi 1er décembre prochain.
La chronologie du scandale Minute 90+6 : Lamine Yamal tombe dans la surface après un duel avec Enzo Fernández. Kovács signale un penalty sans consulter le VAR. Le VAR (l’Irrati italien) n’appelle pas le moniteur malgré les images claires. Ferran Torres transforme la finale 4-3.
Chelsea présente une réclamation officielle à 00:17 h. À 14h00 aujourd’hui, Collina convoque une conférence de presse télématique. 19h43 : déclaration explosive de la FIFA. Réactions immédiates
Xavi Hernández, visiblement tendu dans la rue de la presse postérieure à l’entraînement matinal : « Respectez toute décision, mais nous ne pouvons pas pénaliser. L’arbitre l’a vu sur le terrain et le VAR ne l’a pas corrigé. “Nous jouons juste au football.”
Enzo Maresca, entraîneur de Chelsea, a été beaucoup plus dur : “Tout le monde l’a vu sauf ceux qui devaient le voir. Ce n’est pas du football, c’est du vol flagrant. Si la FIFA a de la dignité, elle répétera le match ou nous donnera des points. Il n’y a pas d’autre option.
Cole Palmer, auteur d’un triplé hier soir, a posté une photo en noir et blanc sur Instagram avec le texte : “Parfois le silence parle plus fort” et plus de 3 millions de likes en une heure.

Joan Laporta, président du Barça, a convoqué en urgence à 21h00 : « Le club demeure, mais ne partage pas. Si la FIFA ouvre ce précédent, c’est tout le système d’arbitrage qui sera en danger. “Combien de pénalités non prononcées en faveur du Barça ces dernières années vont-ils revoir maintenant ?”
Le précédent qui peut tout changer
Jamais auparavant la FIFA ou l’UEFA n’avaient reconnu une erreur d’arbitrage comme “déterminante” et ouvert la porte à une répétition d’un match de haut niveau. Les cas les plus proches étaient :
2005 : L’UEFA annule le match Chelsea-Barça de Mourinho en raison du scandale norvégien Øvrebø, mais le match n’a pas été répété. 2018 : La Conmebol permet à Boca-River de répéter la finale des Libertadores en raison d’une attaque contre le bus.
2023 : La Premier League s’est excusée publiquement auprès de Liverpool pour le but refusé de Díaz contre Tottenham, mais n’a pas modifié le résultat.
La FIFA va maintenant plus loin et cite l’article 8.3 du Règlement disciplinaire qui autorise “des mesures exceptionnelles en cas d’erreur manifeste qui altère le résultat”.
Des conséquences sportives imminentes
Si Chelsea obtient finalement un score de 0-3 :
Chelsea remonterait en 4ème position avec 12 points (accès direct aux huitièmes de finale). Le Barça chuterait à la 9ème place et devrait disputer les éliminatoires des playoffs en février. Le goal-average particulier jouerait en faveur de Chelsea (+3 au lieu de -1).
Si le match se répète :
Il se jouerait à une date FIFA en janvier ou février sur un terrain neutre (probablement Lisbonne ou Milan). Le résultat actuel serait annulé. L’avis des poids lourds Pep Guardiola : « S’ils reconnaissent l’erreur, la logique est de la répéter.
Ne pas le faire dans le football serait de l’hypocrisie. José Mourinho (sur TNT Sports) : “Bienvenue à la justice… même si elle arrive 20 ans trop tard pour moi.” Gary Neville : « Cela ouvre la boîte de Pandore.
Demain tous les clubs demanderont à revenir sur leurs matchs perdus. Gerard Piqué : “S’ils répètent celui-ci, qu’ils répètent également celui de Stamford Bridge 2009. Soit tous, soit aucun.”
À 22h15 ce soir, des centaines de supporters de Chelsea se sont rassemblés devant le siège de l’UEFA à Nyon avec des banderoles « Justice pour Chelsea » et des fusées éclairantes bleues.
A Barcelone, l’ambiance est à la tension maximale: les membres ont appelé à manifester samedi devant le Camp Nou au cas où le club “se laisserait voler à nouveau”.
Pendant ce temps, le football mondial retient son souffle. Lundi prochain, une nouvelle ère pourrait naître… ou un match de Ligue des Champions pourrait se répéter à cause d’une erreur d’arbitre pour la première fois de l’histoire.
Le ballon, pour une fois, n’est pas sur le gazon. C’est dans les bureaux de Zurich.