L’atmosphère du football français s’est électrisée en quelques heures seulement. Alors qu’il était resté discret depuis plusieurs mois, Zinédine Zidane a enfin brisé le silence. Dans un entretien accordé à Téléfoot en marge d’un événement caritatif à Marseille, la légende des Bleus a lâché une phrase qui a immédiatement fait le tour des rédactions européennes :
« Mbappé et ce jeune joueur… ils sont exceptionnels. Mais je crois pouvoir les rendre encore meilleurs. »
Derrière cette déclaration, perçue comme une véritable mise en garde amicale, se cache en réalité bien plus qu’un simple hommage. Selon plusieurs sources proches de son entourage, Zidane aurait déjà repris contact avec la Fédération française de football, indiquant clairement son envie de reprendre le banc — cette fois, pas à Madrid, mais à Clairefontaine. L’objectif est limpide : conduire une nouvelle génération française, autour de Kylian Mbappé et Warren Zaïre-Emery ou Désiré Doué, vers un cycle triomphal avant le Mondial 2026.
Les mots de Zidane ont résonné comme un tonnerre. Lui qui a tout gagné avec le Real Madrid — trois Ligues des champions, deux championnats du monde des clubs, et l’admiration éternelle du Bernabéu — semblait désormais tourné vers un seul rêve : redevenir le guide de la France.
Mais sa phrase, à la fois flatteuse et pleine de sous-entendus, a surtout ravivé un vieux débat : le moment est-il venu de tourner la page Didier Deschamps ?
Quelques heures plus tard, Mbappé, en pleine trêve internationale avec les Bleus, a été interrogé à Madrid par L’Équipe. Souriant, mesuré, mais lucide, le capitaine français n’a pas éludé la question.
« Zidane, c’est une légende. Un modèle pour toute une génération. Je lui dois énormément de respect… mais pour l’instant, je suis avec mon entraîneur, et j’irai avec lui jusqu’au bout du projet. »
Cette phrase, anodine en surface, a en réalité redessiné les lignes du pouvoir. En soutenant publiquement Deschamps, Mbappé a envoyé un message clair : le vestiaire reste soudé autour du sélectionneur actuel, et toute transition devra se faire dans le respect et le temps. Mais dans le même souffle, il a aussi reconnu l’influence persistante de Zidane, comme une ombre noble planant sur l’avenir de l’équipe de France.

Les réseaux sociaux se sont immédiatement embrasés. Certains fans de Zidane ont vu dans ses propos un signe avant-coureur : le retour est imminent. D’autres, plus prudents, rappellent que “Zizou” ne s’exprime jamais au hasard — et que cette phrase pourrait être autant une confession sincère qu’un message subliminal adressé à la Fédération. Sur X (ex-Twitter), le hashtag #Zidane2026 a atteint près d’un million de mentions en moins de 24 heures.
De son côté, la presse espagnole n’a pas manqué d’en rajouter. Marca titre : “Zidane prépare son retour, la France retient son souffle.” AS évoque même un “plan secret” où Zidane aurait déjà dressé une liste de jeunes talents à suivre, parmi lesquels Doué, Zaïre-Emery, et un certain Yamal, s’il décidait un jour de jouer pour la Roja ou les Bleus.
Pendant ce temps, Deschamps, fidèle à son calme légendaire, s’est contenté d’un sourire en conférence de presse :
« Je connais Zizou. Il aime ce qu’il fait. Et s’il veut revenir, il le fera. Mais pour l’instant, moi, je suis là. »
Une réponse diplomatique, mais lourde de sens.
Dans les coulisses de la FFF, certains cadres commencent déjà à imaginer une transition douce : Zidane succédant à Deschamps après l’Euro 2026, avec Mbappé en capitaine de maturité et Doué en symbole de la relève.
Mais d’ici là, Zidane devra attendre. Son envie brûle, mais le timing politique et sportif ne lui appartient plus. Le “mystère Zidane” demeure intact — un mélange de grandeur, de patience et d’élégance silencieuse.

Et dans l’attente, une seule phrase continue de tourner dans toutes les têtes, comme un refrain impossible à ignorer :
“Je les rendrai meilleurs.”
Une promesse, ou peut-être un avertissement.
Car quand Zidane parle, le football tout entier écoute — et retient son souffle.
