« Le monde entier s’est retourné contre vous, mais l’Arabie saoudite vous accueille et vous honore toujours », a déclaré le cheikh Khalid ben Sultan Al Saoud, magnat saoudien du pétrole, en annonçant un contrat d’exclusivité avec Lamine Yamal. Il a révélé qu’il verserait à Lamine Yamal 1 milliard de dollars en espèces et 500 millions de dollars supplémentaires pour ses matchs en Arabie saoudite, ainsi que la construction d’un stade gigantesque de 80 000 places qui portera son nom. La star espagnole, visiblement émue, a répondu d’une voix tremblante, plongeant la salle dans un silence de plomb, tandis que le cheikh Khalid ne pouvait retenir ses larmes.

💥 LAMINE YAMAL SIGNE LE CONTRAT DU SIÈCLE AVEC L’ARABIE SAOUDITE : 1,5 MILLIARD DE DOLLARS ET UN STADE À SON NOM ! Le cheikh Khalid ben Sultan Al Saoud promet un salaire record et la construction d’un stade de 80 000 places. Visiblement ému, la star espagnole laisse la salle sans voix 😱
Ce qui avait commencé comme une simple conférence de presse s’est transformé en une scène déjà entrée dans l’histoire du football. Le cheikh Khalid ben Sultan Al Saoud, l’un des hommes les plus riches de la planète et cousin du prince héritier Mohammed ben Salmane, a annoncé cet après-midi au Kingdom Centre de Riyad la signature du contrat le plus colossal jamais vu : Lamine Yamal, à seulement 18 ans, deviendra l’emblème du football saoudien à partir de 2027.

« Le monde entier s’est retourné contre toi, mon garçon. En Espagne, on te critique, on te montre du doigt, on te brûle parce que tu es jeune et que tu brilles trop fort. Mais ici, en Arabie saoudite, tu auras toujours une maison qui te respecte », a déclaré le cheikh, la voix brisée par l’émotion, fixant intensément le joueur du FC Barcelone.
1 milliard de dollars en espèces à la signature (déjà déposés aujourd’hui sur un compte bancaire suisse).
Un contrat de cinq ans portant sur les droits à l’image exclusifs, assorti de 500 millions de dollars supplémentaires.
Un nouveau stade à Riyad, d’une capacité de 80 000 spectateurs, baptisé Stade Lamine Yamal, sera inauguré en 2028.
De plus, le jeune joueur percevra 45 millions de dollars nets par saison pour ses performances en Saudi Pro League avec Al-Hilal, à partir de l’été 2027. Lorsque le cheikh eut fini de lire les chiffres, un silence absolu s’abattit sur la salle. Lamine, visiblement ému, se leva, s’approcha du micro et, la voix tremblante et les yeux embués de larmes, répondit :
« Non… Je ne sais pas quoi dire. Vous m’avez traité comme un roi dès mon arrivée dans ce pays. Ma famille et moi n’oublierons jamais cela. L’Espagne est ma patrie, mais aujourd’hui, j’ai l’impression d’en avoir une autre ici aussi. Merci du fond du cœur.»
À cet instant, le cheikh Khalid fondit en larmes. Il se leva, enlaça le joueur pendant près d’une minute et lui murmura quelque chose à l’oreille que les caméras ne purent capter. Les flashs continuaient de crépiter.
Quelques minutes plus tard, des sources proches du joueur confirmèrent que Barcelone avait déjà été officiellement informé. Le club catalan, qui a Yamal sous contrat jusqu’en 2031, activera la clause libératoire d’un milliard d’euros qu’il avait lui-même incluse… et que l’Arabie saoudite versera intégralement sous 48 heures.
En Espagne, la nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Le président Joan Laporta a convoqué une conférence de presse d’urgence pour demain. Pendant ce temps, les réseaux sociaux s’enflamment : certains célèbrent la plus grosse transaction financière de l’histoire du football ; d’autres accusent le joueur de « se vendre à l’argent sale ». Mais à Riyad, ce soir, on ne voit que des larmes d’émotion et des drapeaux à l’effigie de Lamine Yamal qui flottent à chaque coin de rue.
Le football ne sera plus jamais le même.