À Madrid, l’ambiance est électrique. Depuis que Joan Laporta a été aperçu à Rome, échangeant une poignée de main chaleureuse – et un long câlin – avec Nasser Al-Khelaifi, les couloirs de Valdebebas bruissent d’une colère froide. Le Real Madrid, qui croyait en une alliance historique avec le Barça pour défendre la Super League, se sent aujourd’hui trahi.
Les sources du Diario SPORT et de Marca s’accordent : Florentino Pérez n’a pas supporté ce qu’il considère comme une “capitulation politique”. Depuis son bureau, il aurait convoqué une réunion restreinte, uniquement avec trois hommes de confiance : José Ángel Sánchez, Juni Calafat et un conseiller juridique du club. Objectif : définir la riposte.
Selon des fuites internes, le président du Real n’a pas haussé le ton. Il a simplement dit, d’une voix glaciale :
“Le Barça a choisi son camp. Nous allons choisir le nôtre.”
Ce silence a plus effrayé que n’importe quel cri. Pérez aurait suspendu temporairement les échanges financiers en cours avec Barcelone liés au projet d’exploitation commerciale conjointe autour de la Super League. Pire encore, il aurait contacté discrètement les dirigeants de la Juventus pour “réactiver” un axe Madrid–Turin, laissant Barcelone isolé.
Dans les médias madrilènes, certains commentateurs parlent déjà d’un “divorce politique”. L’un d’eux confie à COPE :
“Pérez n’oublie jamais. Et quand il riposte, c’est toujours sans témoin.”
Pendant ce temps, du côté catalan, Laporta tente de calmer le jeu. Il assure que la rencontre avec Al-Khelaifi n’était qu’un geste diplomatique. Mais la photo du câlin, publiée sur tous les réseaux, a fait le tour du monde : on y voit deux hommes qui sourient, là où la guerre des intérêts bat son plein.
À Madrid, les ultras grondent. Sur les forums du Real, un message devient viral :
“On nous a trahis deux fois : d’abord par l’UEFA, maintenant par le Barça.”
Selon El Confidencial, Florentino Pérez aurait déjà rédigé un brouillon de communiqué, jamais diffusé, dans lequel il accuse implicitement Barcelone d’avoir “abandonné la cause du football libre”. Le document serait prêt à sortir “au moment opportun”, c’est-à-dire juste avant la prochaine réunion de l’UEFA à Nyon.
En coulisse, certains proches affirment que Pérez a également ordonné une “opération silence” : aucun dirigeant du Real ne doit commenter publiquement l’affaire. Le message est clair — la vengeance viendra, mais elle sera stratégique.
💭 Une phrase circule à Valdebebas, murmurée entre dirigeants :
“Quand le Roi se tait, c’est qu’il prépare la guerre.”
⏳ Et si, derrière le calme apparent, Florentino Pérez préparait la plus grande contre-offensive politique de l’histoire du football moderne ?

Cette action est considérée comme un signal de réconciliation entre Barcelone et l’UEFA, l’organisation à laquelle le club catalan a autrefois tourné le dos pour poursuivre la Super League avec le Real Madrid et la Juventus.
Alors que Laporta a affirmé vouloir « reconstruire des ponts et revenir à l’UEFA », à Madrid, cette décision est perçue comme une trahison silencieuse. Des sources proches du Real Madrid ont révélé que le président Florentino Perez est frustré de voir Barcelone « changer de camp », laissant le Real comme la seule équipe défendant encore ouvertement la Super League.
Le fossé entre les deux « alliés temporaires » est progressivement devenu apparent. Récemment, le Real Madrid a même déposé une plainte contre la volonté de Barcelone d’accueillir le match contre Villarreal aux États-Unis, arguant que cela constituait une violation du règlement de la Liga.
